Qu'est-ce que ce rapport met en lumière est la vraie valeur d'une bonne architecture. Conception qui résout les problèmes et les réponses doit payera lui-même sur la durée de vie d'un bâtiment. Une bonne architecture a son prix. Mais l'architecture mauvaise - ou pas du tout l'architecture - vous coûter plus cher.
"Article Seulement pour enrichir les connaissances"
Le tunnel ferroviaire du Fréjus
Le Tunnel ferroviaire du Fréjus
Cet ouvrage célèbre est le plus ancien des grands tunnels Alpins.
Réalisé de 1857 à 1871, il avait une longueur, énorme pour l’époque, de 12 820 m.
Tunnel du Fréjus : la traversée des Alpes au 19ème siècle.
Comment franchissait-on les Alpes au 19ème siècle ?
Comment franchissait-on les Alpes à cette époque ?
Au milieu du 19ème siècle, les réseaux ferroviaires sont en plein
développement, mais les voies ferrées ne peuvent franchir de reliefs
accentués. En effet la pente acceptable n’est que de 2 à 4 %. Il faut
donc franchir les Alpes en tunnel, ce qui exige des souterrains de
grande longueur.
Or on ne savait pas à l’époque construire un tunnel de plusieurs kilomètres sans puits intermédiaires (un tous les km environ) pour assurer la ventilation. Par ailleurs le creusement, qui ne dispose pas de moyens mécaniques, est très lent. Il est donc nécessaire de multiplier les points de creusement, donc encore de creuser des puits. Ceci n’est pas possible sous les fortes épaisseurs de roches à percer en haute montagne.
Aussi, faute de chemin de fer, on franchit toujours les Alpes en voiture à cheval,.traversées fort périlleuses en hiver.
Or on ne savait pas à l’époque construire un tunnel de plusieurs kilomètres sans puits intermédiaires (un tous les km environ) pour assurer la ventilation. Par ailleurs le creusement, qui ne dispose pas de moyens mécaniques, est très lent. Il est donc nécessaire de multiplier les points de creusement, donc encore de creuser des puits. Ceci n’est pas possible sous les fortes épaisseurs de roches à percer en haute montagne.
Aussi, faute de chemin de fer, on franchit toujours les Alpes en voiture à cheval,.traversées fort périlleuses en hiver.
A l’époque, le col le plus emprunté à travers les Alpes centrales,
pour aller de France en Italie, ou de la Savoie au Piémont, était le col
du Mont-Cenis