mise en œuvre des activités de construction PDF
Une partie de le livre
mise en oeuvre des activites de construction PDF |
Une partie de le livre
site d'implantation
Différents éléments propres au terrain doivent être vérifiés auprès de l’administration locale, le voisinage, le partenaire ou d’autres organisations travaillant dans la localité. Elles interviendront directement dans la conception du projet. Il s’agit de:
- l’accessibilité physique du terrain (route, chemin, train...) et sa proximité par rapport au public cible, d’une part, et au service supérieur de référence, d’autre part (par exemple hôpital de district, école secondaire...);
- l’écosystème du terrain(présence d’espèces remarquables), la géologie (contraintes géotechniques telles que portance et stabilité) et la topographie (présence de risques d’érosion ou d’inondation) et les risques de surcoûts liés à la nature du relief et du sous-sol.Pensons par exemple aux Wadi dans les zones désertiques, ces lits de rivières asséchées durant la plupart de l’année peuvent se révéler dangereux en saison des pluies;
- les contraintes pouvant influer sur l’implantation des bâtiments, comme l’ensoleillement et l’exposition aux vents dominants –y compris les occultations possibles (ombrage, ou effet de goulot dû aux bâtiments avoisinants ou à la végétation)–et d’éventuelles nuisances olfactives ou sonores dues au voisinage. Il s’agira ici de penser à toutes les nuisances potentielles subies,mais également celles qui seront émises par le bâtiment;
- l'accessibilité à l'eau courante, à l’électricité, à la téléphonie (y compris internet)et au réseau d'égout (notamment dans le cas d'hôpitaux). Suivant l'absence de l’un ou de l’autre, il faudra tenir compte du surcoût pour pallier ce manquement, voire envisager un autre emplacement.
- l’accessibilité physique du terrain (route, chemin, train...) et sa proximité par rapport au public cible, d’une part, et au service supérieur de référence, d’autre part (par exemple hôpital de district, école secondaire...);
- l’écosystème du terrain(présence d’espèces remarquables), la géologie (contraintes géotechniques telles que portance et stabilité) et la topographie (présence de risques d’érosion ou d’inondation) et les risques de surcoûts liés à la nature du relief et du sous-sol.Pensons par exemple aux Wadi dans les zones désertiques, ces lits de rivières asséchées durant la plupart de l’année peuvent se révéler dangereux en saison des pluies;
- les contraintes pouvant influer sur l’implantation des bâtiments, comme l’ensoleillement et l’exposition aux vents dominants –y compris les occultations possibles (ombrage, ou effet de goulot dû aux bâtiments avoisinants ou à la végétation)–et d’éventuelles nuisances olfactives ou sonores dues au voisinage. Il s’agira ici de penser à toutes les nuisances potentielles subies,mais également celles qui seront émises par le bâtiment;
- l'accessibilité à l'eau courante, à l’électricité, à la téléphonie (y compris internet)et au réseau d'égout (notamment dans le cas d'hôpitaux). Suivant l'absence de l’un ou de l’autre, il faudra tenir compte du surcoût pour pallier ce manquement, voire envisager un autre emplacement.
Les titres de propriété devront être également vérifiés. Lorsque l’administration choisit d’utiliser un terrain appartenant à un particulier,il conviendra de vérifier que les démarches d’expropriation à charge du partenaire soient correctement appliquées pour que le propriétaire ne soit pas lésé. Les standards de la Banque mondiale sont à cet égard une bonne base de référence qu’il conviendrait de mentionner dans le DTF.Enfin, il conviendra,dans les zones urbaines,de vérifier les plans de secteurs et d’occupation des sols, quand ils existent, pour vérifier leur conformité avec la fonctionnalité du bâtiment envisagé et sa typologie.